vendredi 20 décembre 2013
EAFPC lors de la soirée TOP entreprises à Niort
Cette soirée, organisée le 11 décembre par la Nouvelle République dans les locaux de la MACIF, a rassemblé quelques 300 dirigeants deux-sévriens (et quelques dirigeantes dont des adhérentes EAFPC) pour la remise des trophées « TOP ENTREPRISES ».
En ouverture de la soirée, nous avons pu entendre Hélène Périvier, chercheur spécialiste de l'égalité hommes-femmes sur le marché du travail à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et Sciences-Po, nous parler de « l’inégalité au travail entre les femmes et les hommes ».
Conférence intéressante et instructive qui nous montre que le chemin à parcourir est encore semé d’embuches avant de pouvoir parler d’égalité au travail. Les lois, les « plans égalité » n'ont pas permis jusqu'à présent de combler les écarts qui perdurent entre hommes et femmes sur le marché du travail et « Nos politiques sociales et fiscales restent encore marquées du sceau du modèle de Monsieur Gagnepain et de Madame Aufoyer ». Mais encore : « le sous emploi des femmes ne mobilise pas d’action politique ». Bref, des vérités qui ont provoqué quelques murmures dans la salle très masculine.
Puis nous avons pu découvrir les entreprises primées pour leurs actions ou démarches originales.
Les prix récompensaient : l’innovation, l’engagement dans l’économie solidaire , les nouvelles technologies, les entreprises et collectivités citoyennes, l’industrie (choix originaux de production), l’artisanat (réduction de la pénibilité pour ses salariés),les contrat de génération ou la « mise en lumière ».
9 entreprises ou collectivités deux-sévriennes, pour la plupart méconnues du public, distinguées
par leur implication, leur innovation et leur dynamisme, voire, leur originalité sont présentées par l’intermédiaire d’un petit reportage dédié à chaque chaque entreprise et leur activité.
Deux entreprises ont attiré mon attention : l’entreprise Libner, bien connue de EAFPC, pour son engagement citoyen et l’alternateur un bar-restaurant-concert qui semble prometteur de bonnes soirées.
La soirée TOP entreprises s’est terminée par un petit cocktail sympathique.
Pour plus d'infos : Soirée TOP Entreprises 2013
Christine
samedi 7 décembre 2013
Sortie à chatellerault pour EAFPC Vienne le Lundi 18 Novembre 2013
C’est dans un froid hivernal que le Merle Moqueur de
Châtellerault a accueilli la soirée d’Entreprendre au Féminin le 18 novembre
dernier……..sur Châtellerault. Pour cette première rencontre sur Châtellerault,
une quarantaine de convives ont répondu présentes et se sont retrouvées autour
d’un thème qui nous concernent toutes : l’influence des réseaux sociaux au
quotidien sur notre communication.
Anne-Charlotte Tosdu (Fille2pub), commence son intervention
par un petit sondage sur notre présence respective sur les réseaux sociaux. Des
mains timides se lèvent, il n’y a pas de doute, un tête-à-tête avec Facebook et
ses amis s’impose ! C’est ce qu’Anne-Charlotte va nous proposer par son
intervention dynamique et interactive avec le public.
Facebook et Twitter sont les plateformes les plus utilisées,
mais plusieurs autres existent, telles que Viadeo et Linkedin pour une
visibilité professionnelle.
Avant de vous lancer, il est important de bien maîtriser son
image numérique, surtout quand on publie quotidiennement, ce qui n’est pas
toujours simple, car les réseaux évoluent sans cesse, que ce soit dans leurs
interfaces, leurs paramètres ou encore leur politique en matière de
confidentialité.
Créer son profil ? Pourquoi pas, à condition de débuter
en étant présent sur un ou deux réseaux et de le « nourrir »
régulièrement. Mieux vaut être présent sur un seul qu’éparpillé sur
plusieurs…….et surtout contrôlez votre visibilité !
Le débat est nourri d’échanges et de retours d’expérience, et
de découvertes. Jézabel nous convie à un apéritif dînatoire savoureux et
festif, comme l’était cette première soirée sur Châtellerault !
Pour avoir aidé Florence Potrel à organiser cette soirée,
c’est avec plaisir qu’une fois de plus, je constate que les choses bougent sur
Châtellerault. Les femmes ayant découvert Entreprendre au Féminin ont été
ravies tant du contenu de la soirée que du choix de l’organiser sur
Châtellerault.
Cette expérience est à renouveler sur cette ville……qui attend
d’ores et déjà la prochaine date avec impatience !
Valérie GOUZIEN
Valérie GOUZIEN
jeudi 28 novembre 2013
Soirée club des entreprises du bocage – « ces femmes qui entreprennent »
Le
jeudi 21 novembre nous étions invités par le club des entreprises du bocage
pour une soirée sur le thème « ces femmes qui entreprennent ».
Impressionnée
par la foule rassemblée par le club des entreprises du bocage, nous
assistons à une table ronde animée par Anne-Marie BARBIER (présidente) et Nathalie
MOULON (membre du CA). Les intervenantes sont des femmes qui sont chefs d’entreprise ou en
cogestion avec leur frère, leur père ou leur sœur : Aude MOREAU,
co-gérante de CLISSON METAL et Présidente du GEN 79, Florence CAILLEAUD,
co-gérante de MOBITECH et Présidente de France ADOT, Estelle BOSSARD co-gérante
de la SARL BOSSARD et élue au Conseil Municipal de Moncoutant, en charge en
co-présidence de la Commission Culture, Nelly SOCHELEAU, gérante de l’Olympe.
Toutes
s’accordent pour dire qu’elles sont moins prises au sérieux lorsqu’il s’agit de
donner des conseils techniques à des clients dans des domaines masculins mais
que les femmes et les hommes ont chacun leur domaine de compétences, ce qui
permet une bonne complémentarité. Les femmes ont un atout sur le plan social
dans l’entreprise.
On
se demande alors comment elles arrivent à jongler entre leur vie
professionnelle, personnelle et engagée avec, jusqu’à quatre enfants. Selon
elles, tout est question d’organisation.
Coralie
DENOUES est invitée à prendre la parole. Elle présente avec plaisir à son tour
son statut de co-gérante de la SARL Dénoues & Co en précisant que le
domaine du négoce de bestiaux est largement masculin mais qu’il suffit de faire
ses preuves pour être acceptée à juste titre au côté des hommes. Mais elle est
surtout là pour présenter EAFPC et ses valeurs qui sont en total osmose avec le
thème de la soirée.
Place
ensuite à une conférence animée par Elisabeth Morin Chartier, Députée au
Parlement Européen et Présidente de l’Union Européenne Féminine, qui félicite
l’implication de ces femmes qui entreprennent mais qui fait, néanmoins, un
constat amère : la parité des genres est encore loin d’être une évidence.
Pour justifier ses propos elle nous donne quelques chiffres :
Les
femmes touchent en moyenne 16,9 % de moins que les hommes à compétences égales
en Europe. Elles mettent en moyenne 6 mois de plus à entrer dans la vie active
que les hommes. 75 % des postes précaires européens sont occupés par des femmes.
Elles diminuent leur temps de travail proportionnellement au nombre d’enfant
qu’elles ont. Les femmes arrivent en fin de carrière avec un salaire 35%
inférieur à celui des hommes ce qui entraine leur paupérisation au moment de la
retraite.
Les
femmes acquièrent beaucoup de compétences lors du bénévolat dans les associations,
le problème est que cette acquisition n’est pas reconnue.
La
grande explication de ces inégalités est la peur de la maternité : un
patron embauchera moins facilement une femme qui aura un fort risque de
grossesse et donc des indisponibilités pour le travail.
Le
problème des familles monoparentales qui sont majoritairement tenues par des
femmes est également souligné : ce statut limite l’action des femmes qui
ont beaucoup moins de temps à consacrer à leur vie professionnelle.
Elle
nous rappelle également, que tous les pays de l’Union Européenne sont concernés
par ces chiffres, et qu’à l’heure actuelle aucun d’entre eux ne peut se vanter
de montrer l’exemple.
Enfin
les Cotas obligatoires dans les différentes institutions politiques, autrefois
reniés par Madame Morin-Chartier, sont considérés aujourd’hui, par cette
dernière, comme des outils indispensables pour faire changer les choses.
En
ce troisième jeudi du mois de novembre, tradition oblige, place ensuite à la
dégustation de la cochonnaille et du beaujolais nouveau.
mercredi 27 novembre 2013
Habitat Sain, vous avez dit?
Novembre 2013: Malgré les premiers froids arrivés précocement sur la belle région de Charente, les EAFPCiennes toujours vaillantes s'étaient données rendez vous dans leur "QG" du Karma à Angoulême.
L'ambiance était festive et cette fois-ci nous partagions l'espace sonore avec la clientèle du bar...
Ce fut un peu difficile de se concentrer pour mieux comprendre l'activité de Patricia Jablonski qui se définit comme une "conseillère en habitat sain". Issue de l'industrie et de la qualité, de formation scientifique, Patricia n’était pourtant pas tombée dans ce chaudron toute petite. Elle a pris peu à peu conscience que notre environnement s'était transformé progressivement et était pollué par toutes sortes de nouvelles nuisances "électromagnétiques", comme les ondes, les plus connues étant celles liées au téléphone mobile, mais il en existe aussi diffusées par les tables à induction ou encore beaucoup plus simplement par les différents appareils électriques comme votre radio réveil.
D'autres pollutions peuvent exister, comme la présence du gaz RADON, emprisonné dans le granit dont sont faites certaines maisons (en Bretagne par exemple- et dont l'exposition peut provoquer à long terme des formes de cancer.
Le métier de Patricia est dans un premier temps de sensibiliser entreprises et particuliers à ces nouvelles pollutions. Elle procède donc, avec ses outils très sophistiqués (que nous n'avons hélas pas pu voir car ils sont aussi très couteux) à un diagnostic des pièces (souvent visuel où l'on voit sa tête de lit "noircie" par une pollution invisible) et propose des solutions, de la plus simple (enlever votre radio réveil ou couper votre wi-fi!) à la plus complexe.
Elle s'appuie non seulement sur une formation solide mais aussi sur un réseau scientifique. Elle travaille ainsi avec une équipe d'un hôpital parisien sur une étude pour démontrer que les "electro sensibles" ne sont pas seulement des maladies psychologiques.
Une soirée hautement pédagogique et intéressante... J'en connais déjà qui ont débranché, suite à cette rencontre, leur radio réveil et l'ont remplacé par un réveil classique... D'autres mettent maintenant leur mobile en mode "avion" avant de se coucher....
Merci donc à Patricia pour cette première sensibilisation encore bien superficielle mais qui appelle justement à un approfondissement et à un appel à tes services!
L'ambiance était festive et cette fois-ci nous partagions l'espace sonore avec la clientèle du bar...
Ce fut un peu difficile de se concentrer pour mieux comprendre l'activité de Patricia Jablonski qui se définit comme une "conseillère en habitat sain". Issue de l'industrie et de la qualité, de formation scientifique, Patricia n’était pourtant pas tombée dans ce chaudron toute petite. Elle a pris peu à peu conscience que notre environnement s'était transformé progressivement et était pollué par toutes sortes de nouvelles nuisances "électromagnétiques", comme les ondes, les plus connues étant celles liées au téléphone mobile, mais il en existe aussi diffusées par les tables à induction ou encore beaucoup plus simplement par les différents appareils électriques comme votre radio réveil.
D'autres pollutions peuvent exister, comme la présence du gaz RADON, emprisonné dans le granit dont sont faites certaines maisons (en Bretagne par exemple- et dont l'exposition peut provoquer à long terme des formes de cancer.
Le métier de Patricia est dans un premier temps de sensibiliser entreprises et particuliers à ces nouvelles pollutions. Elle procède donc, avec ses outils très sophistiqués (que nous n'avons hélas pas pu voir car ils sont aussi très couteux) à un diagnostic des pièces (souvent visuel où l'on voit sa tête de lit "noircie" par une pollution invisible) et propose des solutions, de la plus simple (enlever votre radio réveil ou couper votre wi-fi!) à la plus complexe.
Elle s'appuie non seulement sur une formation solide mais aussi sur un réseau scientifique. Elle travaille ainsi avec une équipe d'un hôpital parisien sur une étude pour démontrer que les "electro sensibles" ne sont pas seulement des maladies psychologiques.
Une soirée hautement pédagogique et intéressante... J'en connais déjà qui ont débranché, suite à cette rencontre, leur radio réveil et l'ont remplacé par un réveil classique... D'autres mettent maintenant leur mobile en mode "avion" avant de se coucher....
Merci donc à Patricia pour cette première sensibilisation encore bien superficielle mais qui appelle justement à un approfondissement et à un appel à tes services!
mardi 26 novembre 2013
Une superbe soirée en l'honneur des 30 ans des DCF de Niort...
Une pluie fine tombe sur Niort, il fait déjà nuit. Il fait froid...
J'arrive sur les lieux où les DCF de Niort célèbrent leur 30 ans d'existence, avec une certaine morosité et une lassitude. Mais une invitation de nos collègues des DCF, ça ne se refuse pas!
Alors, me voilà à entrer dans ce hall où les quelques femmes présentes sont pour la plupart adhérentes d'EAFPC. Avec Virginie, nous nous installons dans cette salle, où nous sommes toutes disposées à écouter cette "énième" conférence sur la crise...
Surprise! Mickael Aguilar ne nous parle pas de la crise, il nous prouve qu'il n'y a pas de crise. La crise, la morosité, la sinistrose, c'est nous qui la créons. Nous vivons mieux qu'il y a 50 ans!
Nous allons alors être spectateurs d'un vrai "one man show" à l'américaine, qui va nous faire comprendre que la vie est belle quand on veut la voire belle!
Une heure trente après, je ne suis plus la même! Bye Bye, morosité et lassitude place à un cocktail teinté de bonne humeur et d'échanges sympathiques.
Je n'arriverai à atteindre le buffet que tard dans la soirée (et à mon grand plaisir pour une fois!) car les rencontres se succédaient. Je n'ai pas entendu le mot "crise" de tout le cocktail mais projet, collaboration, épanouissement, motivation... Une véritable cure de Jouvence!
Me voilà à repartir sous la pluie, dans la nuit mais avec un soleil radieux dans le cœur (un peu cliché mais tellement vrai...)
Bravo aux DCF pour cette magnifique soirée et encore merci à eux de nous avoir inviter à la partager !
Coralie
vendredi 22 novembre 2013
L'association des femmes qui en veulent
L'association
régionale « Entreprendre au féminin » organisait sa première soirée à
Châtellerault, lundi dans les locaux du bistrot Le Merle Moqueur. Le
rendez-vous abordait le thème des réseaux sociaux et de leur influence sur le
quotidien des femmes (et des autres) avec comme intervenante Anne-Charlotte
Tosdu. Cette Châtelleraudaise, qui fait sa vie professionnelle en région
parisienne, codirige l'agence de com « Fille2Pub ».
" Favoriser les
échanges et sortir de l'isolement "
Une quarantaine de femmes étaient présentes
lundi soir.
|
« Entreprendre au
féminin », dont la présidente est la Deux-Sévrienne Coralie Dénoues et la
vice-présidente la Poitevine Florence Potrel, a été lancée en 2010. Son
objectif est de « promouvoir le management et l'entrepreneuriat au
féminin », comme l'explique la seconde. Mais pas que. « L'idée
de départ, c'est dire : créons un réseau de femmes pour partager les
expériences et les savoir-faire, favoriser les échanges et faciliter la sortie
de l'isolement », souligne Florence Potrel.
La structure entend œuvrer tant dans les domaines de la création et du management d'entreprise, qu'auprès de femmes salariées ou tout simplement investies dans la vie associative. Concrètement ? « On a des femmes qui étaient sans emploi et qui en ont retrouvé. On est en capacité de s'entraider par exemple sur des candidatures d'appels d'offres ou en matière de formation. »
L'association, qui revendique 312 adhérentes (dont 80 pour son antenne dans la Vienne) s'intéresse évidemment à Châtellerault. Elle prévoit d'y organiser régulièrement des soirées comme celles de lundi, à raison de deux rendez-vous par an.
La structure entend œuvrer tant dans les domaines de la création et du management d'entreprise, qu'auprès de femmes salariées ou tout simplement investies dans la vie associative. Concrètement ? « On a des femmes qui étaient sans emploi et qui en ont retrouvé. On est en capacité de s'entraider par exemple sur des candidatures d'appels d'offres ou en matière de formation. »
L'association, qui revendique 312 adhérentes (dont 80 pour son antenne dans la Vienne) s'intéresse évidemment à Châtellerault. Elle prévoit d'y organiser régulièrement des soirées comme celles de lundi, à raison de deux rendez-vous par an.
F.B.
Source : La nouvelle république
lundi 28 octobre 2013
Les adhérentes EAF 79 à l'assaut de la minoterie Bellot !
Nous nous séparons en deux groupes pour une visite plus confortable |
Pour chaque blé utilisé, un échantillon est conservé afin d'assurer la traçabilité de la farine |
Nous découvrons le blé au milieu des différentes étapes de transformation |
Nous sommes stupéfaites quant à la grandeur des machines, plus rien à voir avec le traditionnel moulin ! |
Tout le système de transformation est contrôlé informatiquement depuis une salle ce qui permet la détection rapide du moindre souci
Encore une soirée réussie pour EAF Deux-Sèvres !
|
samedi 26 octobre 2013
EAFPC Vienne part à la découverte de Delphine MONTERO
C’est l’histoire d’une jeune femme passionnée et dynamique
que nous découvrons le 15 octobre 2013 dans les locaux de la CCIV.
Elle nous raconte son parcours d’un Salon de l’étudiant à son départ aux USA en qualité de fille au pair jusqu’à son retour en France où pendant 10 ans elle travaille dans le tourisme.
La connaissance des logiciels spécifiques au Tourisme vont
la pousser vers le monde du graphisme et du design.
Elle ne se marie pas seulement avec la profession, elle y
rencontre également son futur mari et associé (son point fort, la Communication
et la Gestion Commerciale) ensemble ils
donneront naissance à leur société, aujourd’hui M’ COM.
Ils nous proposent la création d’Affiche (tous formats)
carte de visite, site internet, kakémonos, etc.
Le plus important dans sa démarche commerciale est, de bien
définir les besoins et attentes du
client, de l’accompagner au mieux sur plusieurs jours pour confirmer le Message
attendu. Delphine nous explique qu’elle est parfois obligée de prendre du recul
pour mieux revenir sur le projet.
Le respect de la chartre graphique, les codes couleur, le
choix de la police tous ces petits détails prennent du temps car derrière il y
a un gros travail de recherches.
Elle proposera une formation de 2 jours à son client (création d’un site) pour
être autonome mais aussi un service après-vente pour les mises à jour (tarifs, nouveautés,
etc.)
Passionnée par son métier, les échanges et les relations
humaines, elle reflète superbement l’image d’une femme épanouie, une
entrepreneuse pleine de promesses, mais aussi une artiste bien dans son époque.
Les échanges se sont poursuivis dans la salle de réception où nous attendaient nos bons mets salés et sucrés.
Les échanges se sont poursuivis dans la salle de réception où nous attendaient nos bons mets salés et sucrés.
Merci à notre partenaire CCIV de nous accueillir et à Gilles Morisseau d'être le gardien des lieux pour la soirée.
Nathalie BRAUD
jeudi 10 octobre 2013
L'image de soi au menu des EAFPCIENNES charentaises!
Réunies encore une fois au Karma où Mathilde et son équipe nous accueillent à chaque fois très chaleureusement, une vingtaine de femmes ont débattu des enjeux de l'image de soi... une thématique d'actualité si on en juge par les échanges quelquefois passionnés!
Le sujet n'est certainement pas clos mais en vrac, voila quelques idées glanées au fil des minutes
- Les femmes sont de plus en plus en demande d'une écoute et de la prise en compte de leurs complexes éventuels. La société est en effet devenue de plus en plus exigeante au fil du temps notamment sur les critères esthétiques. En parallèle on voit aussi les métiers du bien etre se développer fortement: "être bien" devient une injonction sociale.
- L'estime et l'image de soi ne recouvrent pas les mêmes réalités mais sont fortement liées. Ce qui est important est la cohérence de toutes les images que l'on peut avoir : professionnelle, conjointe, mère...
Les jeunes semblent, selon certaines, avoir plus de recul et être plus matures. Ils se posent des questions très tôt : "pourquoi suis je faite?"
- L'image de soi est impactée par l 'usage des réseeaux sociaux: on peut se transformer pour rentrer dans un moule mais alors perd on son authenticité et sa crédibilité?
- A aussi ete évoquée l'influence de la culture avec l'exemple du Maroc et des codes vestimentaires pour les femmes.
- Pour se construire, il ne faut pas avoir peur de l'échec... une expérience pas vraiment valorisée chez nous....
- Savoir aussi reconnaître le positif aide à mieux accepter l'image que l'on projette.
- Des outils d'animation des équipes ont aussi été proposés comme la "météo du jour"qui permet de savoir comment les personnes se sentent et de pouvoir adapter discours et travail.
- Finalement, l'image de soi est un coktail d'estime de soi et d'affirmation de soi. Les vetements servent aussi à se cacher, à jouer un rôle. L'être humain est "coincé" entre deux besoins: celui d'etre différent et celui d'appartenir à un groupe.
L'image de soi se construit tout au long du temps et refléte l'histoire d'une vie?
Merci aux animatrices à l'initiative de ce café/débat, Christel Carlotti et Aline Duverger
Merci aux trois expertes qui ont accompagné les réflexions, Valérie Girard (relooking), Gladys Raffin (psychologue du travail) et Nathalie Pascale Fougeron (médiatrice)...
et un grand MERCI à toutes les participantes qui ont permis d'enrichir la discussion!
Rendez vous le 14 novembre, même lieu, même heure pour une découverte d'un nouveau métier au nom quelque peu intriguant... Conseillère en Habitat Saint....
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