lundi 15 décembre 2014

Le coaching - Un vrai métier.




Connaissiez-vous l’étymologie du mot coach « coché » ? Sa définition : conduire une personne importante du point où elle est au point où elle veut aller. C’est ce qu’ont appris les adhérentes d’EAFPC Charente Lundi 17 Novembre en allant à la rencontre de Sandra Lisse Coach en entreprise et Coach de vie basée à Jarnac.
Un rendez-vous très important pour lequel pas loin de 40 femmes (adhérentes et invitées) ont répondu présentes.
Le thème de la soirée est donné, nous sommes dans un lieu intime, Sandra nous parle donc de son parcours et comment elle en est arrivée à coacher des hommes et des femmes.




Elle entre dans le vif du sujet tout en répondant aux questions qui fusent de part et d’autres de la salle.
Sandra nous explique que cette méthode d’accompagnement existe depuis plus de 30 ans, et qu’elle s’applique sur les ressources du coaché avec des outils qui permettent d’ouvrir certaines possibilités.
Le coaching est donc une stratégie en 8 étapes et qui se divise en 3 phases importantes :
1-     L’exploration de l’individu
2-     L’approfondissement
3-     Matérialisation de l’objectif.
Une fois qu’on a compris ce fonctionnement elle nous explique l’importance du coaching de l’individu en entreprise, les possibilités qu’il lui apporte sont nombreuses : Résultat, Objectif, Capacité, Talent, Evolution…





Ce sont des termes souvent employés en entreprise et qui font le succès du coaching.
Pour Sandra, via son cabinet Devel’Optimal l’accompagnement des entreprises se fait par :
1-     Le recrutement
2-     L’accompagnement au changement
3-     Le coaching de cadre
Mais le coaching en entreprise c’est aussi du coaching de dirigeant, le train coach et le coaching d’équipe.
Pour finir, et en réponse à une question qui lui a été posée, Sandra nous parle des ateliers de coaching qu’elle anime au sein de son cabinet jarnacais, et nous ferons suivre à toutes les adhérentes les évènements à venir de Sandra.
La salle était captivée par les explications de Sandra, il y a eu de nombreux moments d’échanges mais le temps n’était pas en notre faveur, donc mesdames, si vous voulez en savoir plus, si vous voulez développer toutes les possibilités que vous offrent un coaching, prenez contact directement avec Sandra.





A la fin de cette rencontre, nous avons partagé un verre et quelques amuses bouches préparés par les femmes qui étaient présentes, et nous avons libérées la salle du Logis de la Tour Garnier qui nous avait été gentiment prêtée à 22h30
Merci à Sandra pour cette rencontre.

Rédigé par Lamia MAZZOUR


mardi 2 décembre 2014

EFT : Soirée relaxante… et surprenante pour l'antenne Vienne EAFPC



Jeudi 20 novembre, Virginie Gabriel, relaxologue et consultante EFT, nous invitait à une conférence intitulée « Comment retrouver confiance en soi ».


Une trentaine de femmes, probablement concernées par la problématique, ont partagé une expérience… étonnante !
Imaginez plutôt toutes ces femmes entamant une ronde de tapotages. 

Et on tourne : sommet du crâne, front, coin des yeux, sous les yeux, sous le nez, sous la bouche, sous le cou et sous les bras. Dis comme ça, forcément, ça a de quoi surprendre ! Surtout quand toutes entonnent « je ne peux pas calmer ma colère », « si je peux calmer ma colère », « je suis une femme formidable ».

« Je m’accepte et je m’aime comme je suis ».

L'EFT, Emotional Freedom Techniques, a pourtant des effets évidents. Cette pratique psychocorporelle stimule les points situés sur le trajet des méridiens pour libérer les émotions.

Le lâcher prise total de Françoise, un de nos deux cobayes, témoigne de son efficacité. A l’issue de sa « séance publique » destinée à la mettre en confiance pour l’animation de sa réunion du lendemain, les résultats sont là : plus de boule au plexus, et quasiment plus aucun doute sur ses chances de réussite… et en prime un relâchement physique très visible ! Une amélioration aussi pour notre second cobaye dans la gestion de sa colère face à un client qui hurle.




Cette séance collective pratiquée dans la bonne humeur  (l’humour de notre hôte y ayant largement contribué) nous a encouragées à nous accepter et nous aimer telles que nous sommes.  Reste à nous en convaincre totalement…








Les tapotages ont ensuite laissé place à une longue séance de papotages autour d’un buffet généreusement garni.



Billet rédigé par Sophie Guitonneau
Novembre 2014

samedi 27 septembre 2014

Rentrée Business Dating pour EAFPC Vienne



C’est la rentrée !
Au programme : «  Business Dating »    


A EAFPC, comme ailleurs, septembre rime avec rentrée des classes. Ici, la « maitresse » se prénomme Florence. Munie d’une grosse cloche elle sonne la rentrée de façon assez véhémente !



Ah, contente de retrouver les camarades de l’an passé et de découvrir de nouvelles têtes.
A peine le temps d’entamer quelques papotages que… greli-grelo ! Silence dans les rangs, parole à « l’autorité ». Et ça ne rigole pas !



Premier jour et déjà interro orale. « Vous avez 3 minutes pour vous présenter à la camarade qui vous fera face. J’agite doucement ma cloche, c’est au tour de votre partenaire de se soumettre au même exercice. J’agite vivement ma cloche et là STOP ! On tourne et on recommence avec une autre camarade de jeu. » Maîtresse Florence a parlé.

Nous sommes une trentaine à nous exécuter.
Sympa de faire des rencontres de tous horizons : immobilier, textile, sophrologie, ressources humaines, compta, paie… et de découvrir de belles personnes.

Six tours de table plus tard, l’heure de la récré et du gouter sonne. Ah ! C’est le moment de trinquer à l’anniversaire de notre chère maîtresse et de poursuivre les discussions, plus ou moins pros, avec de nouvelles recrues et des camarades qu’on a plaisir à retrouver.
C’est chouette la rentrée !



Rédactrice, Sophie Guitonneau




jeudi 10 juillet 2014

A la rencontre de 2 adhérentes en Charente Maritime



Le 25 Juin dernier nous sommes allées à la rencontre d'Anne-Sophie DESCAMPS et Patricia TALLON gérante de l'entreprise Un Arbre sur Mon Chemin. Cette soirée a eu lieu à la Chèvre Rit où se trouve le verger baptisé le verger de Pierre Rabhi entre St Xandre et Dompierre sur mer.

Après quelques minutes pour les retrouvailles, nous sommes réunies dans la grange (un cadre très dépaysant et apaisant). 

Tout d'abord elles nous expliquent qu'« Un Arbre Sur Mon Chemin » est une SARL qui a pour objet de planter des arbres fruitiers sur du foncier disponible et de créer de la richesse au sens du développement durable : sociale, économique et environnementale.

Puis, elles nous exposent le concept de l'entreprise qui est basé sur un système de parrainage de fruitiers par des entreprises ou des particuliers (concept peu répandu mais déjà développer par "un toit pour les abeilles"). 

Voilà comment cela se passe :

Les terrains sont mis à disposition gratuitement par les propriétaires – personnes physiques, entreprises, collectivités – et nous signons avec eux des conventions reconductibles d’une durée de 3 ans.

Patricia établit les plans de plantations selon le potentiel des terrains et les contraintes évoquées avec les propriétaires : économiques, écologiques, esthétiques, historiques … Anne-Sophie recherche ensuite des clients disposés à s’associer dans la durée au projet, en parrainant des arbres.

Les arbres sont plantés, entretenus, directement ou indirectement par « Un Arbre Sur Mon Chemin ». Le client-parrain est informé selon un calendrier saisonnier des opérations réalisées sur le verger et reçoit chaque année, à hauteur de sa participation, le fruit du travail des arbres sous forme de confiture artisanale « A.B. ». Les pots sont personnalisés au niveau de l’étiquette ou du couvercle avec le nom du verger ou le logo de l’entreprise et peuvent constituer une idée cadeau originale.

Ensuite, nous avons quitté la grange et sommes allées voir le verger planté sur le terrain de la chèvre Rit (à ce sujet je tiens à dire que nous n'étions pas toutes chaussée pour se promener dans les champs :) tout au long de la promenade Patricia et Anne-Sophie nous expliquent pourquoi il y a un verger à la Chèvre Rit : 

Et bien voilà, la création du verger « Pierre RABBHI » de la ferme de Cédric et Florence AUGE a pour but d’accueillir les clients de La ChèvreRit sur une aire de pique-nique pour la vente et dégustation de ces fromages de chèvres, pour cela la clientèle sera invitée à la cueillette des fruits de saison, qu’elle pourra emporter gracieusement. 

Il en sera de même pour les voyageurs de passage, le long du circuit, à pied ou à vélo.

C’est donc Un Verger sous le signe du « Partage », comme ils le souhaitent.
La plantation comporte 89 arbres fruitiers de plein pied, dont voici la liste : 6 cognassiers, 9 abricotiers, 9 pêchers, 11 pommiers, 12 pruniers, 13 poiriers et 20 cerisiers.
Ces arbres sont plantés devant La ChèvreRit et le circuit du « Vélodyssé » de Charente-Maritime. E.S.A.T. e transition – Gaia 17, nous a aidé à faire la plantation.

A la fin de la soirée nous avons partagé un verre et dégusté ce que nous avions apporté tout en continuant nos discussions les unes aux autres.

Ce qu'il reste de cette soirée c'est que nous avons toutes été captivées, étonnées aussi, par le concept novateur de cette entreprise qui fait tomber tous les préjugés qui consistent à laisser croire que l'écologie et le partage sont réservés aux associations et qu'une entreprises peut mettre au premier plan l'écologie et le partage puis ensuite vient l'économie !


Bravo les filles et merci pour ce joli moment convivial et de de partage en toute simplicité !







Rédigé par Virginia BAYOU et Patricia TALLON

A la découverte d'une adhérente EAFPC Vienne

19h00, dans l’avenue du Maréchal Leclerc à Châtellerault,  des rires et une douce lumière nous attirent vers une chaleureuse ambiance au showroom de Terrassin Agencement. Pour cette dernière soirée du semestre, nos yeux et nos palais vont être sollicités.

Sylvie nous explique son parcours, ses multiples voyages pour rechercher la dernière tendance, et immédiatement elle nous enveloppe de sa passion pour l’agencement des cuisines, mais pas que : en effet, ses conseils nous guident aussi pour des solutions de rangement dans toute la maison.

Dotée d’un goût sûr et d’un œil expert, Sylvie a su transmettre sa passion d’entreprendre à  sa fille, Cécile, qui tient l’Entracte à Châtellerault et qui nous prépare des merveilles en cuisine.

La soirée se poursuit par une dégustation de plats aussi bons que variés réalisés sous les yeux des adhérentes conquises par la gourmandise.

De nouveaux visages ont fait leur apparition, il n’y a pas de doute, cette deuxième soirée sur Châtellerault était attendue et s’est révélée être un beau succès !

C’est le cœur léger que nous nous quittons pour la trêve estivale, toutes impatientes de recevoir la prochaine invitation pour notre rencontre de septembre avec un business dating.




Article rédigé par Valérie Gouzien

mercredi 9 juillet 2014

En 10 minutes chrono...



C'était le 30 juin dernier... Le soleil était  au rendez-vous et la France jouait le quart de final de la coupe du monde de football. Alors que les supporters remplissaient peu à peu les terrasses, les adhérentes d'EAFPC prenaient place dans le restaurant le César à Niort.


 Nos 15 femmes du jour s'étaient laissées tenter par l'aventure de notre célèbre Business dating.

Le principe ? Vous le connaissez, des face-à-face d'une dizaine de minutes pour parler de soi, de son activité, de ses projets... et pourquoi pas se créer des opportunités.
La première, celle de rencontrer des femmes plus extraordinaires les unes que les autres. La seconde, se perfectionner à l'exercice de se présenter en moins de 10 minutes (le plus difficile je vous le garantie). La troisième, développer son activité et décrocher de nouvelles affaires.

Je dois avouer que ce qu'il y a de profondément agréable dans ce genre de soirée, c'est d'entendre  : "je suis vraiment heureuse d'être venue."

Peut-être s'était-elle un peu obligée à sortir et à laisser de côté tous ses impératifs pour penser à elle, peut-être était-elle réticente à participer une soirée réservée aux femmes et poussée par sa curiosité, nos échanges l'avaient finalement rassurée, ou peut-être avait-elle perdu confiance en sa capacité à s'ouvrir aux autres et à se créer elle-même de nouvelles opportunités....

Je dirai peu importe. Cette personne avait simplement accepté d'aller à la rencontre des autres et d'elle-même. Une soirée qui, j'en suis sûre, l'encouragera à OSER...

Alors si vous aussi vous aimeriez passer la porte de nos soirées et vivre l'expérience EAFPC, rendez-vous en septembre pour une visite de la Concession Ford à Chauray... pour une rentrée sur les chapeaux de roues.

To be continued...


dimanche 22 juin 2014

Fin d'année le nez dans le Cognac pour Entreprendre Charente!


Après avoir visité un domaine, nous devions finir notre initiation au cognac en rencontrant notre adhérente Nicole Prulho Cartau.
Courtier et marchand en gros depuis près de 30 ans, Nicole connait très bien le terroir, le produits (cognac et pineau) et les acteurs (négociants et viticulteurs).
Elle définit le métier de courtier comme suit "C’est être entre l’ombre et la lumière, et aussi entre le marteau et l’enclume, le courtier, dit « courtier de campagne » exerce un métier finalement mal connu. Le courtier parle à tout le monde, mais, discrétion oblige, il doit aussi savoir se taire, même si la circulation de l’information fait partie intrinsèque de son rôle d’intermédiaire. »

Lorsque Nicole sest installée en 1989, après des études oenologiques, il y avait très peu de femmes courtier. Aujourd’hui encore, sur 55 membres inscrits au syndicat des courtiers des Charentes, elles sont peu nombreuses. Laire de production sétend sur près de 70 000 hectares essentiellement entre la Charente et la Charente Maritime et répartis en 6 crus : Grande Champagne, Petite Champagne, broderies, Fins bois, bons bois et bois ordinaires.

Son métier est très complet. Même si son rôle majeur est d’être une intermédiaire entre le vendeur et l’acheteur, le courtier doit également informer le viticulteur sur les nouvelles obligations, les procédures Douanes.... Elle suit les stocks de cognac, elle est informée lorsqu’un viticulteur souhaite vendre sa propriété. Bref, Nicole est un maillon à part entière dans la chaîne du cognac. Reconnue par ses pairs, elle est devenue membre du jury des spiritueux dans les salons qui décernent les médailles d’Or, d’Argent et de Bronze.

Lorsqu’un viticulteur, qui n’est pas sous contrat avec une grande maison, souhaite vendre un lot de cognac, il contacte Nicole. Elle commence par prendre un échantillon de 50 à 70 cl afin d’en laisser pour dégustation à chaque maison de cognac susceptible d’être intéressée ou qui cherche un lot. Nicole fait également la dégustation du produit. Elle saura mieux identifier à qui elle pourra le présenter en fonction de sa qualité et de ses arômes. Le prix n’est pas fixe. Il est souvent tributaire du marché. Un même lot n’aura pas la même valeur à 6 ou 9 mois d’écart.

Justement, Nicole, nous propose de faire une dégustation. Sur les tables il y a 8 verres (oui oui 8 !), une fiche de dégustation par personne et par verre. 5 verres contenaient des lots de cognac entre 70 et 61° et les 3 derniers verres étaient des spiritueux prêts à la mise, soit à 40° - ouf. La fiche est divisée en trois parties : 
appréciation de la couleur, appréciation au nez et appréciation aux goûts. Nous avons toutes passé un agréable moment à chercher les arômes. Eclats de rire assurés. Afin que Nicole puisse nous corriger ou nous orienter, nous avions le nez dans les verres et disions à la volée : or clair, vieil or, poire, épices, miel, non tabac… Ce sont les premières gorgées qui nous ont surprises. Eh oui ! 70° tout de même.

Nicole nous a préparé une surprise. Dans les trois derniers verres prêts à la mise, elle avait caché un alcool différent du cognac. Notre mission, si nous l’acceptions, était d’identifier le verre intrus et de trouver de quel alcool il s’agissait. Nous avons relevé le défi. L’intrus était dans le troisième verre. Mais nous avons eu du mal à trouver de quel spiritueux il s’agissait : armagnac - non ; whisky - non ; liqueur de quelque chose - non ; rhum - oui. Ouf ! 
Pour nous récompenser de nos efforts, Nicole nous a offert un dossier pour savoir bien déguster un cognac avec notamment une carte des crus. Merci.

Nous étions nombreuses, dont beaucoup de nouvelles, à cette dernière rencontre avant les vacances d’été. C’est autour d’un apéritif dinatoire concocté par l’ensemble des adhérentes que nous avons fait un tour de table pour apprendre à nous connaître. 

Merci à toutes, bel été et rendez-vous le 19 Septembre à la Kabane pour une nouvelle année riche en rencontres et activités !
Post écrit par Aline Duverger. Merci à elle pour sa contribution!
 

mardi 10 juin 2014

Les femmes d'Entreprendre à la découverte du Cognac!



 
   



 
Par une radieuse journée de printemps, (la chance était avec nous), pilotées par Elodie Abécassis, une jeune trentenaire dynamique, chef d'entreprise des Cognacs ABECASSIS,  une trentaine de femmes ont eu la chance de s'initier à l'"élevage" du Cognac. C'est en effet le terme employé pour produire ce breuvage, fleuron de l'économie Charentaise, qui a connu ses lettres de noblesse au XXe siècle (Bogart en buvait dans Casablanca ... ;-)) et qui renait depuis quelques années, grâce au développement des marchés émergents (la Chine notamment).


Depuis les vignes jusqu'à l'embouteillage, en passant par la distillerie et les chais de vieillissement, Elodie Abecassis et son maitre de chais, Christian Guerin, nous ont fait partager pendant une demi journée leur passion. Contrairement aux "grandes "maisons du Cognac de plus en plus souvent détenues par des grands groupes internationaux, Francis ABECASSIS a créé sa société  avec la volonté de faire un produit de terroir. 240 hectares de vigne sur 3 domaines différents et 3 marques associées. (Cognac Leyrat, Le réviseur, ABK6).


Chaque domaine possède sa propre distillerie ce qui peut sembler contre productif mais permet de garder un produit "pur", sans assemblage (contrairement aux autres cognacs), ce qui fait la spécificité des cognacs Abecassis. Ainsi les eaux de vie à la base du Cognac ne proviennent que du domaine. Une importance toute particuliere est accordée à la qualité du produit. Par exemple, les vendanges se font jour et nuit sans interruption et le raisin est transporté sous vide par des grandes pipelines depuis les vignes jusqu'au chais afin d'éviter au maximum l'oxydation.



La visite des chais a été un instant émouvant. 21 chais abritent plus de 3000 barriques et plus de 300 tonneaux tous en chêne du limousin. Il faut au moins 2 ans de vieillissement pour pouvoir mettre une appellation cognac. Certaines bouteilles  dans les chais ont plus de 70 ans. 




Comme toute l’économie du Cognac, Abecassis exporte majoritairement (à 90%)  ses produits dans 30 pays principalement en Europe. Il reste 10% pour le marché français, ce qui est une part importante par rapport aux autres entreprises du secteur.



Durant cette demi journee, armées de notre "outil de visite" (un verre!), nous avons admiré les vignes,  les alambics, les barriques... gouté aux différentes étapes de la production (hips!)....
Tous nos sens ont été sollicités : la vue, l'odorat, l’ouïe, le toucher et le gout bien sur! Nous ne sommes pas privées de déguster Cognac et vieux pineau...





Nous ne parlerons par du 6eme sens dit féminin qui nous a aussi surement servi pour mieux saisir l'esprit de cette visite et cette entreprise atypique!








La soirée s'est finie pour quelques unes au restaurant la Cigogne à Angouleme qui nous avait réservé une salle ou nous avons pu echanger et rire en toute tranquillité!

Merci à Aline et à Nicole de l'antenne Charente de nous avoir préparé cette demi journée instructive et ludique. Magnifique talent notamment d'organisatrice d'Aline qui avait préparé le soir pour chacune un rappel de notre menu personnalisé ! 




Pour celles qui le souhaitent , un article dans Charente Libre est parue quelques jours plus tard mais en version papier uniquement. EAFPC en détient une version scannée ainsi que la photo associée.